Présentation du projet
Le premier documentaire sur l’aluminium vaccinal, adjuvant neurotoxique, est en cours de réalisation. La pilote de ce projet, c’est Marie-Ange Poyet, qui a réalisé (entre autres) le documentaire “Sang contaminé – l’autre scandale” diffusé sur Canal Plus en 2013. Déjà avec ce film, elle avait eu affaire à un certain Alain Mérieux. Il est aussi présent de manière importante dans notre mobilisation pour le retour de vaccins sans aluminium, puisque l’Institut Mérieux est LE responsable de la disparition des vaccins sur phosphate de calcium, en 1986…
Sur proposition de l’association de malades E3M et avec son partenaire de toujours, le caméraman Olivier Cousin, Marie-Ange Poyet a accepté de réaliser ce documentaire sur la problématique de l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccin : “L’aluminium, les vaccins et les deux lapins”. Voici sa présentation :
Aujourd’hui, un millier de malades sont atteints, en France, de myofasciite à macrophages. Ce nom barbare caractérise une atteinte neuro-musculaire invalidante et très douloureuse.
L’arbre qui cache la forêt… Selon certaines sources scientifiques, plusieurs dizaines de milliers de personnes seraient potentiellement concernées, en France mais aussi au Portugal ou dans l’ensemble du monde occidental. La cause de cette catastrophe sanitaire sans précédent : les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants des vaccins.
Neurotoxique, cancérogène et perturbateur endocrinien, l’aluminium n’a aucun rôle biologique connu. Comme le précise Harold Baer, responsable de la surveillance des traitements contre l’allergie à la FDA (l’Agence du Médicament nord-américaine) : « On en connaît assez sur l’aluminium pour savoir que l’on ne devrait l’injecter à personne ».
Enjeux humains ou enjeux économiques ?
L’aluminium vaccinal est une bombe, mais à retardement. Il est possiblement en cause dans les cas post-vaccinaux de sclérose en plaques, de sclérose latérale amyotrophique (alias maladie de Charcot), voire de troubles du spectre autistique.
Et les milliers de malades atteints de ces pathologies lourdes et invalidantes ne sont que les prédécesseurs de millions d’autres dans la mesure où l’on continue à injecter, et ce, particulièrement aux enfants en bas âge, de l’aluminium via leurs vaccins. Une pratique que certains industriels ont abandonné… dans des vaccins vétérinaires pour chats !
Les politiques de santé publique de droite comme de gauche se succèdent indifféremment. La raison, le principe de précaution, les alertes lancées aussi bien par certains scientifiques que par des acteurs de la société civiles ne suffisent jamais.
Les enjeux économiques écrasent les enjeux humains et sanitaires. Les industriels, certains scientifiques et les organismes de régulation et de surveillance d’Etat cogèrent ensemble le système sanitaire. Une pratique fortement condamnée en France lors de « l’affaire du mediator » mais qui se perpétue et génère de fait de nombreux conflits d’intérêts sur lesquels les pouvoirs publics ferment pudiquement les yeux.
Un documentaire d’importance publique !
Aucun documentaire n’a jamais été entièrement consacré au problème de l’aluminium dans les vaccins alors que c’est là que le danger est le plus grand, que le mensonge est le plus éhonté, les conflits d’intérêts les plus scandaleux et les enjeux économiques les plus énormes.
Un film qui, au-delà des témoignages, remet en perspective le fonctionnement de la politique de santé publique face aux alertes incessantes sur l’aluminium depuis 50 ans. Errements, incompétence, conflits d’intérêts, soumission au lobby des laboratoires pharmaceutiques, rien n’a été épargné à la santé des femmes, des hommes et des enfants de tous âges et toutes conditions. Une politique du secret et de la dissimulation qui débouche sur des catastrophes sanitaires majeures.
Un film construit autour des regards et témoignages croisés de protagonistes représentant les différents enjeux de cette affaire : justice, santé, victimes. Un film enfin où l’on se gardera des éternelles images prétextes de seringues, de chaînes de fabrication, de vues de laboratoires…, égrenées jusqu’à plus soif dans les films sur la santé. Nous resterons au plus près des femmes et des hommes que nous filmerons. Les contrechamps de leurs regards nous apporteront les nécessaires respirations. La ville, la nature, un couloir derrière la vitre d’une porte de laboratoire d’hôpital… Autant d’espaces de douleurs, d’espoirs, de questionnement, de doutes, de colère… ”
En quoi ce documentaire va-t-il accélérer le retour de vaccins sans aluminium ?
Ce documentaire sera sans concession, puisqu’il est fait en toute indépendance : l’association E3M, association de malades, est co-producteur et la réalisatrice a toute latitude pour dire et montrer ce qui doit être connu de tous. C’est un argument de poids, car le débat sur la vaccination qui se profile, annoncé par la ministre de la santé, va se dérouler sous la surveillance d’un comité d’organisation dont certains membres sont très étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.
Or, les citoyens doivent être informés des risques liés à l’aluminium et faire leurs choix en conscience.
Il va constituer un outil au service de tous ceux qui aspirent à une vraie démocratie sanitaire. Celle-ci doit s’appuyer sur deux piliers : une connaissance scientifique indépendante de tout enjeu économique et une transparence dans toutes les décisions de santé publique.
Il révélera ce qui est caché et dénoncera ce scandale de l’immobilisme des autorités sanitaires face aux alertes lancées depuis des années par des scientifiques indépendants.
Laurence Cohen, sénatrice engagée pour le retour de vaccins sans aluminium
Pourquoi est-il important que les citoyens participent au financement de ce documentaire ?
Nous ne pouvons plus attendre que les autorités sanitaires agissent comme elles le devraient. C’est maintenant à nous de nous mobiliser. C’est par notre financement citoyen que nous accordons toute la liberté à l’équipe du film.
Les chaînes de télévision décideront, une fois le film fini, de le diffuser ou non.
Si elles refusent, alors ce sera à nous tous de prendre en main sa diffusion…
Quel est le coût de ce documentaire ?
Dans la mesure où le financement du documentaire va être assuré par l’association E3M, Marie-Ange Poyet et Olivier Cousin ont cherché à minimiser les frais le plus possible.
Le coût total (55 000 €) couvre le temps passé par l’équipe (réalisation, image et son, montage, mixage), les déplacements en France et à l’étranger, la location du matériel et les assurances.
Barbara Romagnan (PS), Laurence Cohen (PC), André Gattolin (EELV), Yves Detraigne (UDI) participent au financement du documentaire dans le cadre de leur réserve parlementaire, rejoints par les Verts Européens (via Michèle Rivasi). 15 000 €, soit 30% du financement total, sont ainsi apportés par des élus de diverses sensibilités politiques, car le problème de la sécurité vaccinale concerne chacun d’entre nous.
Pour comparaison, le film Demain a coûté 950 000€, le dernier Oscar du meilleur documentaire Twenty feet from Stardom 725 000€, le film Entre leurs mains 45 000€…
Il nous reste donc à obtenir 40 000€ pour boucler le financement de ce documentaire, une oeuvre citoyenne indispensable au débat public sur la vaccination.
Nous vous tiendrons informé(e)s de l’avancée du tournage. Merci pour votre soutien !