Financer la recherche sur l’aluminium vaccinal
Quelques éléments scientifiques
L’aluminium est l’adjuvant le plus utilisé pour renforcer la réponse immunitaire aux vaccins, bien que son action soit mal comprise. L’usage de cet adjuvant de génération très ancienne (1926) est actuellement questionné par les récentes découvertes de plusieurs équipes de recherche dans le monde.
La persistance de l’aluminium dans l’organisme a été établie à l’occasion de l’émergence de la myofasciite à macrophages. Il a ainsi été montré chez la souris que, suite à l’injection de vaccins aluminiques dans le muscle, la capture de ces particules aluminiques par les cellules immunitaires favorise leur dissémination dans l’organisme. Cette migration de l’aluminium et son accumulation dans différents organes (cerveau, rate, etc.) sont fonction de 3 critères :
– La susceptibilité individuelle (capacité à éliminer les substances toxiques),
– Le mode d’injection (intramusculaire ou sous-cutané),
– La quantité injectée (contrairement à ce que tout le monde pensait, ce n’est pas “la dose qui fait le poison” ; nous sommes en effet dans le cadre d’une toxicité particulaire).
Il a par ailleurs été constaté que la persistance anormalement longue de l’aluminium au site d’injection était associée à la présence de troubles cognitifs (mémoire de travail, attention, gestion du stress…) objectivés lors de tests neuropsychologiques. Chez les personnes concernées (donc atteintes de myofasciite à macrophages), des examens d’imagerie médicale (TEP-TDM) indiquent que le fonctionnement de certaines zones du cerveau est déficient – et cela de manière identique chez la grande majorité des malades.
Présentation des projets de recherche
Des dizaines de milliers de personnes présentent des symptômes très proches de ceux de la myofasciite à macrophages, mais ignorent l’origine de leur maladie…
Le premier axe de recherche consiste donc à approfondir la technique présentée ci-dessus, car l’imagerie médicale peut permettre de découvrir des atteintes cérébrales spécifiques à la myofasciite à macrophages (liées donc à la présence d’aluminium).
Qui est plus sensible à la présence d’aluminium dans les vaccins et risque de développer une myofasciite à macrophages (ou une autre pathologie, les recherches à venir nous le diront) ?
Tel est l’objectif du second axe de recherche. Il s’agit d’identifier les facteurs de susceptibilité individuelle qui favorisent la persistance de l’aluminium dans l’organisme. Ces particularités individuelles pourraient en outre être impliquées dans les difficultés d’élimination d’aluminium provenant d’une source non-vaccinale (les déodorants par exemple), ou d’autres molécules que l’aluminium.
En quoi cette recherche va-t-elle accélérer le retour de vaccins sans aluminium ?
Chaque jour, des milliers de vaccins sont injectés sans que l’on sache qui peut en être malade et à partir de quelle dose. Les connaissances sur les effets de l’accumulation d’aluminium dans l’organisme sont lacunaires.
Face à cette “roulette russe”, des réponses scientifiques doivent être apportées. Les recherches présentées ici y contribuent de manière importante.
Elles visent à démontrer que l’on ne peut continuer à injecter des vaccins avec aluminium en quantité de plus en plus importante (200 vaccins sont en cours de développement !) sans tenir compte des conséquences. L’inscription d’un vaccin dans le calendrier vaccinal est basée sur la balance bénéfice-risque de ce vaccin.
Les recherches en cours permettent d’avoir une meilleure idée du risque lié à la présence d’aluminium dans les vaccins.
Quel est le coût de cette recherche ?
Les recherches scientifiques nécessitent de disposer de moyens financiers conséquents notamment pour “rémunérer la matière grise” (le coût d’un post-doctorant est de 50 000 € par an).
La recherche que nous présentons coûte 200 000 € sur 3 ans. Elle est co-financée par le Conseil Régional d’Île de France (150 000€) et l’association E3M (50 000€) dans le cadre du programme PICRI (Partenariats Institutions-Citoyens pour la Recherche et l’Innovation).
Pour 2016, la participation citoyenne est de 17 000€. C’est cette somme que nous devons atteindre avec cet appel à dons.
Quelles sont les équipes scientifiques qui travaillent actuellement sur le sujet ?
L’équipe INSERM de l’hôpital Henri Mondor (Créteil) travaille sur le sujet depuis 20 ans, elle est leader mondial dans ce domaine du lien entre l’aluminium vaccinal et des pathologies de type syndrome de fatigue chronique (SFC).
D’autres équipes sont mobilisées dans d’autres pays sur des thématiques proches. Citons quelques une d’entre elles :
– La Dr Tania Santiago suit au Portugal une cohorte de malades de myofasciite à macrophages.
– Le Pr Chris Shaw et Lucija Tomlenovic (Canada) travaillent sur les effets de l’adjuvant aluminium au niveau cellulaire, mais aussi sur le lien entre Gardasil et maladies neurologiques.
– Le Dr Lee (Etats-Unis) a découvert la présence d’ADN du papillomavirus dans chaque ampoule de Gardasil, “scotché” sur l’adjuvant aluminium. Une découverte confirmée par le Pr Laurent Belec (Hôpital Européen Georges Pompidou, France). Cette présence est parfaitement inattendue et en contradiction totale avec la notice de ce vaccin. Elle pourrait expliquer la survenue de scléroses en plaques ou d’encéphalomyélites aigues disséminées, l’aluminium ayant amené avec lui cet ADN dans sa migration vers le cerveau.
-> Le Dr Lluis Lujan, universitaire vétérinaire espagnol, travaille sur les milliers de moutons décédés en Espagne, à la suite de campagnes de vaccination contre la fièvre catarrhale. L’aluminium figure au banc des accusés.
-> Le Pr Yehuda Shoenfeld (Israël), grand spécialiste des maladies auto-immunes, se concentre sur “le syndrome des adjuvants”, dans lequel il incrimine notamment l’aluminium vaccinal.
Pourquoi est-il important que les citoyens participent au financement de ces recherches ?
L’aluminium vaccinal est sur la sellette depuis de nombreuses années. Pour autant, les autorités sanitaires n’agissent pas.
Deux actions fortes, menées en 2012 et 2013 par les malades d’E3M ont abouti, grâce aussi au soutien de plusieurs parlementaires, à ce que la Ministre de la Santé impose à l’Agence du Médicament (ANSM) de verser 150 000 € pour les recherches des Pr Gherardi et Authier (INSERM).
Les résultats (accumulation de l’aluminium post-vaccinal dans différentes parties du corps en fonction de 3 critères : le mode d’injection, la quantité injectée et la susceptibilité individuelle) ont été transmis aux autorités sanitaires fin 2015.
Et pourtant, rien ne se passe… La roulette russe peut continuer à tourner. Qui sera la prochaine victime ?
Nous ne pouvons l’accepter. C’est pour cela que nous avons lancé en 2015 notre campagne pour des vaccins sans aluminium. C’est pour cela que, fidèles à notre démarche de toujours, nous voulons financer la recherche afin que l’on comprenne au plus vite les dégâts induits par cet adjuvant neurotoxique.
Nous vous proposons de vous joindre à nous car il ne peut être question, lorsque l’on pense aux générations futures, de baisser les bras.
Merci pour votre soutien !
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