Un peu d’aluminium avec votre verre de vin, monsieur ?Un peu d’aluminium avec votre verre de vin, monsieur ?

Article du Dr Exley du 19/10/2022

Changer les habitudes entraîne des problèmes supplémentaires

J’apprécie un verre de vin. J’ai un intérêt amateur pour le vin. D’où mon abonnement de plusieurs décennies au magazine Decanter. Je me résigne au fait que le vin n’est pas exempt de contamination par l’aluminium. La « contamination » peut être naturelle en ce sens qu’elle provient du sol (le terroir comme les amateurs de vin aiment le dire) ou fortuite à travers les nombreux processus impliqués dans la fabrication du vin. Je compte sur ma dose quotidienne d’eau minérale riche en silicium pour m’aider à me protéger d’une telle contamination.

Cependant, je suis de plus en plus préoccupé par la tendance naissante à contaminer sciemment mon boisson préférée avec de l’aluminium. J’ai commencé à écrire mes lettres à l’éditeur de Decanter (déscontent de Stoke-on-Trent) à l’avènement des bouchons à vis il y a de nombreuses années. Tout comme le traditionaliste en moi méprisait l’utilisation d’une telle fermeture sur une bouteille de vin fin, le fait clair que les bouchons à vis contamineraient (plus loin) le vin avec de l’aluminium était difficile à avaler. Oui, j’ai expliqué à l’éditeur que le disque en plastique entre le vin et le métal en aluminium du bouchon à vis n’était pas une technologie sans faille et qu’avec le temps, il est inévitable que le vin entre en contact avec le métal de l’aluminium et favorise sa dissolution (corrosion). Remarquablement, l’éditeur a imprimé mon conseil selon lequel les bouteilles de vin avec des bouchons à vis doivent être stockées verticalement. Après tout, la raison pour laquelle le vin est généralement stocké horizontalement est d’empêcher le liège naturel de se dessécher.

Les bouchons de vis sont maintenant omniprésents et nous avons accepté leurs conséquences indéniables pour la santé de l’aluminium. Cependant, un article dans le numéro de novembre 2022 de Decanter a stimulé une nouvelle lettre au nouveau rédacteur en chef. Je copie cette lettre ci-dessous.

Semblable à un mauvais vin, Decanter et l’équipe éditoriale présentent peu ou pas d’équilibre dans le récent article sur l’emballage du vin. Dans un tableau mettant en évidence les avantages et les inconvénients de différents emballages, aucune référence n’est faite à leurs impacts potentiels sur la santé. Plus de la moitié des options énumérées utilisent des emballages à base d’aluminium. Pour une bonne raison, car l’aluminium est nécessaire pour réduire l’entrée d’oxygène (rien à voir avec la lumière comme mentionné l’auteur) et donc permettre à un vin de vieillir avec succès au-delà des plusieurs mois qui seraient possibles, par exemple, avec la « bouteille en papier ». L’inconvénient est que tous les emballages à base d’aluminium, des bouchons à vis aux boîtes en aluminium et aux cartons à longue durée de vie contaminent le produit avec de l’aluminium. Ceci est sans équivoque et a été démontré et publié dans des revues à comité de lecture depuis plusieurs décennies maintenant. Ce ne sont pas de nouvelles connaissances et cela n’a jamais été remis en question par les fabricants de tels emballages dans la littérature scientifique évaluée par des pairs.

J’ai écrit à Decanter à ce sujet à plusieurs reprises au cours des dernières décennies. Des versions parfois éditées de mes lettres ont été publiées, y compris récemment lorsque le rédacteur en chef a demandé d’autres avis sur ce sujet de la part du lectorat. Ce dernier a abouti à la publication d’une lettre à l’appui de ma position. Il est irréfutable que la consommation régulière de vin contaminé par l’aluminium, par exemple par l’emballage, ajoute à la charge corporelle de l’aluminium. Par exemple, vous augmenterez la teneur en aluminium de votre tissu cérébral. Votre lectorat mérite de le savoir lorsque Decanter fait tout son possible pour promouvoir les emballages à base d’aluminium pour le vin. Dans un récent éditorial sur la consommation d’été, vous étiez heureux de dire que « Le décanteur aime le vin dans des canons en aluminium ». Je ne sais pas pourquoi vous avez pris cette position, mais ce faisant, vous êtes obligé de faire preuve d’équilibre et de souligner les effets potentiels sur la santé de la consommation de vin stocké de cette manière.

J’adore le vin et j’adore ma copie mensuelle de Decanter, j’aimerais juste qu’un certain équilibre soit montré dans la promotion de ces formes alternatives d’emballage.

Santé !

Je pense que j’ai été quelque peu réservé dans mes commentaires, êtes-vous d’accord ? Aucune mention de la maladie d’Alzheimer ou d’autres affections causées par une charge corporelle élevée d’aluminium. L’article dans Decanter est derrière un paywall et, en tant que tel, il ne sert à rien que je fournisse un lien ici. Cependant, prenez-le-moi si vous n’êtes pas en mesure de le lire vous-même. Ce n’est pas du journalisme, c’est une fonctionnalité promotionnelle et je ne serais pas surpris de découvrir qu’il est soutenu par l’industrie de l’aluminium. La tendance vers des formats d’emballage alternatifs pour les vins fins est vendue comme concession de l’industrie vinicole à la durabilité. On s’attend à ce que nous croyions que l’aluminium utilisé dans les emballages tels que les sacs en boîte, les cantes, les sachets et les cartons à longue durée de vie (Tetra Pak) est meilleur pour l’environnement que le verre. Je ne vais pas en débattre ici, mais vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans un article que j’ai écrit il y a plusieurs années. De même, les informations sur la façon dont les emballages à base d’aluminium contaminent les produits stockés peuvent être obtenues grâce à mon récent livre. Ai-je mentionné dans les sous-piles précédentes que j’avais écrit un livre ? Aujourd’hui, j’écris sur le vin, quelque chose qui est important pour moi, mais vous aurez deviné que ces formes d’emballage à base d’aluminium sont omniprésentes et font partie de la vie quotidienne. Je parviens à éviter d’utiliser le produit stocké de cette manière et je n’achèterai pas mon vin dans une boîte ou une boîte. Vous pouvez peut-être faire la même chose et si vous ne pouvez tout simplement pas dire non à ce merlot dans une boîte, n’oubliez pas votre dose quotidienne d’eau minérale riche en silicium.

Débat sur l’aluminium vaccinal à la fête de l’humanité le 17 septembre

L’Atelier Santé Citoyen de Bretagne PCF – Front de Gauche poursuit le travail sur le médicament et organise le 8ème débat sur cette question depuis 2014 à la fête de l’Humanité. Il s’inscrit dans les débats de la commission santé et protection sociale du PCF à la fête.

Aluminium dans les vaccins : pourquoi et comment faut-il s’en passer ?
Rôle des Pouvoirs Publics, du corps médical face aux laboratoires pharmaceutiques.

Rendez-vous à l’espace débats Bretagne, le dimanche 17 septembre à 11h.

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J-2 pour soutenir notre campagne de dons pour des vaccins sans aluminium !

Après plus de 10 ans d’actions militantes menées par notre association de victimes de l’aluminium utilisé dans les vaccins, la question de l’adjuvant aluminium est au coeur du débat sur la vaccination initié en 2016 par la Ministre de la Santé.

Chaque année nous rapproche un peu plus de notre objectif. Nos relations avec les chercheurs, les parlementaires, les professionnels de santé, mais aussi avec certains représentants des pouvoirs publics nous montrent que nous avançons dans la bonne direction.

Il reste encore du chemin à parcourir pour que des vaccins sans aluminium reviennent sur le marché, notamment pour les enfants. Mais ensemble, nous en sommes persuadés, nous pouvons déplacer des montagnes.

Sans vous, nous ne pouvons agir. C’est pourquoi nous avons lancé une campagne de dons pour soutenir trois projets principaux, afin d’accélérer le retour de vaccins sans aluminium.

Nous avons déjà récolté plus de 45 000€. Il est tout à fait possible en deux jours, grâce à votre mobilisation, d’atteindre notre objectif de 60 000€ ! Cliquez ici pour donner et partagez cet article dans votre réseau !

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Financer la recherche sur l’aluminium vaccinal

Quelques éléments scientifiques

L’aluminium est l’adjuvant le plus utilisé pour renforcer la réponse immunitaire aux vaccins, bien que son action soit mal comprise. L’usage de cet adjuvant de génération très ancienne (1926) est actuellement questionné par les récentes découvertes de plusieurs équipes de recherche dans le monde.
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Pour des vaccins sans aluminium : 7 jours pour agir

Présentation du projet

Du 15 au 22 octobre 2016, nous organisons un temps fort autour de l’aluminium vaccinal répondant à trois objectifs :
Alerter sur la toxicité de cet adjuvant et ses victimes (en s’appuyant sur les résultats des dernières recherches scientifiques),
Présenter les solutions fiables, sûres et réalistes pour remplacer l’aluminium vaccinal,
Générer un débat transparent et basé sur la science indépendante.

Sept jours dédiés à la question de l’aluminium vaccinal et de la démocratie sanitaire, avec au programme : des débats transparents, des événements d’ampleur accessibles chaque jour en ligne, des vidéos exclusives, une bande-dessinée inédite, des interviews avec chercheurs et victimes, des actions locales dans plusieurs villes en France, des partenariats avec des organisations ou des médias et des projections de notre documentaire en avant-première !

Je donne pour... événement

En quoi ce événement va-t-il accélérer le retour de vaccins sans aluminium ?

Cet événement, associé à la sortie de notre documentaire, va mettre un coup de projecteur sur le scandale insuffisamment connu de l’aluminium dans les vaccins.
Nous allons mettre en lumière les victimes de cet adjuvant, les preuves scientifiques démontrant sa toxicité, le manque de transparence et les conflits d’intérêts qui jalonnent l’histoire récente, mais aussi les solutions alternatives à l’aluminium vaccinal.

Cet événement se situe dans le dernier trimestre de 2016, une année choisie par la Ministre de la santé pour lancer son “débat sur la vaccination”, animé par un comité dont la composition indique clairement les choix de politique vaccinale qui en découleront.

D’autres voix doivent se faire entendre. Cet événement est donc notre contribution au débat public.

Quel est le coût de cet événement ?

Pour cet événement d’une semaine, dans plusieurs villes en France et avec une programmation conséquente, nous prévoyons un coût d’environ 7 000€ (qui comprend notamment la rémunération de la chargée de mission qui organise ce projet). Nous en avons déjà auto-financé plus de la moitié mais il nous manque encore 3000€.

Vos dons serviront principalement à financer l’impression de supports de communication (tee-shirt, badges, tracts…), à défrayer les déplacements des différents intervenants pour les actions locales (à Paris et dans toute la France) et à louer une salle pour l’avant-première de notre documentaire.

Cet évènement, nous l’avons imaginé pour animer le débat sur la vaccination ”à notre manière”, car l’enjeu est majeur pour les générations futures.

Aidez-nous à le faire exister, un grand merci pour votre soutien !

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Le premier documentaire sur l’aluminium vaccinal

Présentation du projet

Le premier documentaire sur l’aluminium vaccinal, adjuvant neurotoxique, est en cours de réalisation. La pilote de ce projet, c’est Marie-Ange Poyet, qui a réalisé (entre autres) le documentaire “Sang contaminé – l’autre scandale” diffusé sur Canal Plus en 2013. Déjà avec ce film, elle avait eu affaire à un certain Alain Mérieux. Il est aussi présent de manière importante dans notre mobilisation pour le retour de vaccins sans aluminium, puisque l’Institut Mérieux est LE responsable de la disparition des vaccins sur phosphate de calcium, en 1986…

Sur proposition de l’association de malades E3M et avec son partenaire de toujours, le caméraman Olivier Cousin, Marie-Ange Poyet a accepté de réaliser ce documentaire sur la problématique de l’aluminium utilisé comme adjuvant dans les vaccin : “L’aluminium, les vaccins et les deux lapins”. Voici sa présentation :

Aujourd’hui, un millier de malades sont atteints, en France, de myofasciite à macrophages. Ce nom barbare caractérise une atteinte neuro-musculaire invalidante et très douloureuse.
L’arbre qui cache la forêt… Selon certaines sources scientifiques, plusieurs dizaines de milliers de personnes seraient potentiellement concernées, en France mais aussi au Portugal ou dans l’ensemble du monde occidental. La cause de cette catastrophe sanitaire sans précédent : les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants des vaccins.

Neurotoxique, cancérogène et perturbateur endocrinien, l’aluminium n’a aucun rôle biologique connu. Comme le précise Harold Baer, responsable de la surveillance des traitements contre l’allergie à la FDA (l’Agence du Médicament nord-américaine) : « On en connaît assez sur l’aluminium pour savoir que l’on ne devrait l’injecter à personne ».

Enjeux humains ou enjeux économiques ?

L’aluminium vaccinal est une bombe, mais à retardement. Il est possiblement en cause dans les cas post-vaccinaux de sclérose en plaques, de sclérose latérale amyotrophique (alias maladie de Charcot), voire de troubles du spectre autistique.
Et les milliers de malades atteints de ces pathologies lourdes et invalidantes ne sont que les prédécesseurs de millions d’autres dans la mesure où l’on continue à injecter, et ce, particulièrement aux enfants en bas âge, de l’aluminium via leurs vaccins. Une pratique que certains industriels ont abandonné… dans des vaccins vétérinaires pour chats !
Les politiques de santé publique de droite comme de gauche se succèdent indifféremment. La raison, le principe de précaution, les alertes lancées aussi bien par certains scientifiques que par des acteurs de la société civiles ne suffisent jamais.
Les enjeux économiques écrasent les enjeux humains et sanitaires. Les industriels, certains scientifiques et les organismes de régulation et de surveillance d’Etat cogèrent ensemble le système sanitaire. Une pratique fortement condamnée en France lors de « l’affaire du mediator » mais qui se perpétue et génère de fait de nombreux conflits d’intérêts sur lesquels les pouvoirs publics ferment pudiquement les yeux.

Un documentaire d’importance publique !

Aucun documentaire n’a jamais été entièrement consacré au problème de l’aluminium dans les vaccins alors que c’est là que le danger est le plus grand, que le mensonge est le plus éhonté, les conflits d’intérêts les plus scandaleux et les enjeux économiques les plus énormes.
Un film qui, au-delà des témoignages, remet en perspective le fonctionnement de la politique de santé publique face aux alertes incessantes sur l’aluminium depuis 50 ans. Errements, incompétence, conflits d’intérêts, soumission au lobby des laboratoires pharmaceutiques, rien n’a été épargné à la santé des femmes, des hommes et des enfants de tous âges et toutes conditions. Une politique du secret et de la dissimulation qui débouche sur des catastrophes sanitaires majeures.

Un film construit autour des regards et témoignages croisés de protagonistes représentant les différents enjeux de cette affaire : justice, santé, victimes. Un film enfin où l’on se gardera des éternelles images prétextes de seringues, de chaînes de fabrication, de vues de laboratoires…, égrenées jusqu’à plus soif dans les films sur la santé. Nous resterons au plus près des femmes et des hommes que nous filmerons. Les contrechamps de leurs regards nous apporteront les nécessaires respirations. La ville, la nature, un couloir derrière la vitre d’une porte de laboratoire d’hôpital… Autant d’espaces de douleurs, d’espoirs, de questionnement, de doutes, de colère… ”

 

Je donne pour... documentaire

En quoi ce documentaire va-t-il accélérer le retour de vaccins sans aluminium ?

Ce documentaire sera sans concession, puisqu’il est fait en toute indépendance : l’association E3M, association de malades, est co-producteur et la réalisatrice a toute latitude pour dire et montrer ce qui doit être connu de tous. C’est un argument de poids, car le débat sur la vaccination qui se profile, annoncé par la ministre de la santé, va se dérouler sous la surveillance d’un comité d’organisation dont certains membres sont très étroitement liés à l’industrie pharmaceutique.
Or, les citoyens doivent être informés des risques liés à l’aluminium et faire leurs choix en conscience.

Il va constituer un outil au service de tous ceux qui aspirent à une vraie démocratie sanitaire. Celle-ci doit s’appuyer sur deux piliers : une connaissance scientifique indépendante de tout enjeu économique et une transparence dans toutes les décisions de santé publique.

Il révélera ce qui est caché et dénoncera ce scandale de l’immobilisme des autorités sanitaires face aux alertes lancées depuis des années par des scientifiques indépendants.

 

LAURENCE COHEN
Laurence Cohen, sénatrice engagée pour le retour de vaccins sans aluminium

Pourquoi est-il important que les citoyens participent au financement de ce documentaire ?

Nous ne pouvons plus attendre que les autorités sanitaires agissent comme elles le devraient. C’est maintenant à nous de nous mobiliser. C’est par notre financement citoyen que nous accordons toute la liberté à l’équipe du film.
Les chaînes de télévision décideront, une fois le film fini, de le diffuser ou non.
Si elles refusent, alors ce sera à nous tous de prendre en main sa diffusion…

Quel est le coût de ce documentaire ?

Dans la mesure où le financement du documentaire va être assuré par l’association E3M, Marie-Ange Poyet et Olivier Cousin ont cherché à minimiser les frais le plus possible.

Le coût total (55 000 €) couvre le temps passé par l’équipe (réalisation, image et son, montage, mixage), les déplacements en France et à l’étranger, la location du matériel et les assurances.

Barbara Romagnan (PS), Laurence Cohen (PC), André Gattolin (EELV), Yves Detraigne (UDI) participent au financement du documentaire dans le cadre de leur réserve parlementaire, rejoints par les Verts Européens (via Michèle Rivasi). 15 000 €, soit 30% du financement total, sont ainsi apportés par des élus de diverses sensibilités politiques, car le problème de la sécurité vaccinale concerne chacun d’entre nous.

Pour comparaison, le film Demain a coûté 950 000€, le dernier Oscar du meilleur documentaire Twenty feet from Stardom 725 000€, le film Entre leurs mains 45 000€…

Il nous reste donc à obtenir 40 000€ pour boucler le financement de ce documentaire, une oeuvre citoyenne indispensable au débat public sur la vaccination.

Nous vous tiendrons informé(e)s de l’avancée du tournage. Merci pour votre soutien !

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