Désintox : la toxicité de l’aluminium vaccinal ne serait pas prouvée ! (LCP)
Flagrant délit de mensonge du Pr Odile LAUNAY (Vice-présidente du Comité Technique des Vaccinations) sur LCP
Samedi 31 octobre, La Chaîne Parlementaire a rediffusé l’émission « État de santé » intitulée : « Vaccins : retrouver la confiance » (disponible en replay).
La Pr Odile Launay, invitée de l’émission, connaît bien la question vaccinale. Elle travaille régulièrement avec les industriels fabricant de vaccins (Sanofi, GSK, Merck…) comme l’indique sa déclaration publique d’intérêts. Elle est aussi vice-présidente du Comité Technique des Vaccinations, qui conseille le gouvernement en matière de politique vaccinale.
Au cours de l’émission, les risques présentés par l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal ont été abordés, et il a été fait mention des travaux menés par l’unité INSERM des Pr Gherardi et Authier (Hôpital Henri Mondor). Ceux-ci sont en effet à la pointe de la recherche internationale sur le sujet. Ils ont notamment démontré de manière expérimentale que l’aluminium injecté lors de toute vaccination persistait au site d’injection (contrairement à ce qui était précédemment admis) et migrait dans l’organisme, une partie de cet aluminium s’accumulant dans le cerveau et dans différents organes du système immunitaire.
Ces résultats peuvent bien sûr être discutés, les échanges scientifiques sont féconds ! Mais les discussions doivent se faire sur la base d’arguments scientifiques.
Mme Launay critique les travaux des Pr Gherardi et Authier. C’est son droit. Mais elle le fait d’une manière contraire à l’éthique scientifique, en déformant la réalité des faits.
Reprenons l’échange entre Mme Launay et Elizabeth Martichoux (LCP) :
– Mme Launay : « Aujourd’hui, l’équipe de Romain Gherardi est la seule au monde à faire (…) »
– E. Martichoux : “Au monde ? Il n’est suivi par aucun disciple (…) ? »
– Mme Launay : « Il n’est pas suivi par d’autres scientifiques. »
Les téléspectateurs de LCP ont le droit de savoir que les affirmations de Mme Launay sont fausses, ce qu’elle ne peut ignorer !
- Des cas de myofasciite à macrophages ont été rapportés dans de nombreux pays. Des chercheurs portugais s’impliquent dorénavant et suivent une cohorte de personnes atteintes de myofasciite à macrophages (voir la publication de Tania Santiago).
- La qualité des recherches menée par l’équipe INSERM est telle que leurs résultats sont repris par le Pr SHOENFELD, le plus éminent spécialiste international des maladies auto-immunes. Celui-ci inclue dorénavant la myofasciite à macrophages dans son « syndrome des adjuvants – ASIA ». D’autres scientifiques du monde entier travaillent aussi sur le lien antre l’aluminium vaccinal et diverses pathologies, comme le Pr Exley, le Pr Shaw, Lucija Tomljenovic…
- Enfin, au vu de l’état des connaissances scientifiques, la justice a tranché : le Conseil d’Etat reconnaît le lien entre Myofasciite à macrophages et l’aluminium vaccinal (8 arrêts depuis 2012, une solide jurisprudence!).
Tous ces éléments sont disponibles sur le site de la campagne Pour des vaccins sans aluminium : www.vaccinssansaluminium.org, notamment dans la rubrique “les preuves scientifiques”.
Ces mensonges ne sont pas les premiers, nous entendons régulièrement de telles contre-vérités. Pourquoi les experts choisissent-ils de travestir la réalité ? Pourquoi apportent-ils des conseils erronés aux gouvernements?
Les malades atteints de myofasciite à macrophages, diagnostiqués officiellement par un centre de référence pour les maladies neuromusculaires, vivent au quotidien la douleur et l’épuisement, avec comme conséquence fréquente l’arrêt de toute activité sociale et professionnelle. Pour eux, mais aussi pour de nombreuses personnes en errance de diagnostic, ces mensonges répétés représentent une maltraitance insupportable.
NB : Nous avons emprunté le concept de désintox à ARTE. Nous espérons en être digne : « sévère mais juste » !
Une question reste en suspens : comment les médecins qui ont 3 heures de formation en tout et pour tout sur les vaccins peuvent-ils affirmer que les vaccins sont indispensables?
L’auto-formation du médecin dans le reportage est celle des laboratoires fournie aux autorités officielles. Peut-on penser que les laboratoires, au vu des faits de l’actualité, vont indiquer les inconvénients de leurs produits?
les vaccins sont déclarés indispensables à la santé, c’est la version officielle, et les médecins sont formatés et programmés pour vacciner, et pourtant il y a des familles dont les enfants non vaccinés sont en excellente santé et qui préfèrent rester incognito, pour ne pas être inquiétés et les antécédents familiaux de maladies auto-immunes devraient constituer une contre-indication à la vaccination, compte-tenu de plus que le calendrier vaccinal démarre très tôt chez des organismes fragiles, immatures et sans défense, devant des vaccins pentavalents et hexavalents très agressifs et dont les complications, certaines graves, citons l’autisme infantile, la mort subite du nourrisson, les convulsions mortelles ou avec séquelles etc..et d’autres moins graves dont font partie les bronchiolites,l’asthme infantile et l’eczéma du nourrisson etc…ces pathologies répandues ne sont pas attribués aux effets secondaires des vaccins et sachant que les vaccins non obligatoires ne sont pas couverts, le fait de les associer aux obligatoires dispense le système vaccinal de toute prise en charge, la faute à pas de chance ! Bien sûr, on court le risque de développer la maladie naturelle en ne se vaccinant pas ! il existe des remèdes homéo efficaces pour en prévenir les complications, chacun devrait être en mesure de refuser pour son enfant les vaccins avec adjuvants toxiques dont l’aluminium et le mercure et la survaccination polyvalente précoce telle qu’elle est proposée et des éminents médecins dont le Pr Henri Joyeux s’insurgent contre de tels procédés, sachant que la pédiatrie se doit d’abord de protéger nos enfants des effets adverses; d’abord ne pas nuire selon le serment d’Hippocrate !
L’homéopathie pour la méningite?
Hélas, l’homéopathie n’a pas de solution pour prévenir ces infections qui sont causés par des agents multiples (bactéries de plusieurs souches, virus…)
La seule notion que j’ai en matière de prévention infectieuse avec l’homéopathie est celle contre la grippe qui peut donc être éviter sans vaccin
Monsieur
En tant que médecin, je ne peux vous permettre d’affirmer que notre formation n’est pas suffisante. D’abord, le chiffre horaire que vous annoncez est faux, ensuite, la plupart des médecins se forment au delà ce que leur propose l’enseignement initial à la faculté. Et je parle de formation et non du lavage de cerveau que proposent les laboratoires avec leurs visiteurs médicaux ou leur invitation à des congrès à thème.
La défiance est déjà assez importante pour ne pas avoir besoin d’être nourrie par des propos caricaturaux et sans fondement.
Nous partageons l’avis de jiB, des médecins (mais nous sommes incapables d’en connaitre le nombre) ne se contentent pas des quelques heures de formation initiale sur la vaccination et se forment autrement, par exemple avec le Formindep ou en lisant la revue Prescrire (avec un regret pour cette dernière lié au fait qu’elle appréhende la question vaccinale de manière peu professionnelle, selon nous).
Il nous semble aussi que les nouvelles générations de médecins sont beaucoup moins sensibles aux sirènes des visiteurs médicaux…
Tout ceci explique très certainement la grande méfiance des médecins vis-à-vis de la vaccination contre le papillomavirus (seulement 18% des jeunes filles sont vaccinées), mais aussi leur méfiance vis-à-vis des vaccins qui contiennent de l’aluminium. Ainsi, 1/3 des médecins pensent qu’il y a un risque avec les adjuvants (enquête ORS PACA – Mars 2015).
Aujourd’hui je dois faire le ROR ainsi que la méningite à mon petit, que faire ? Sachant que j’ai déjà tout fait sauf l’hépatite B.
Merci
N’hésitez pas à aller consulter la rubrique « Vous êtes » de notre site internet pour trouver des réponses à vos questions : https://www.vaccinssansaluminium.org/vous-etes
Il est possible de vacciner avec un centième de dose (0,1 ml du produit dilué) en intra-dermo. Dans l’épaisseur de la peau, notre corps dispose de milliers de cellules capable d’intégrer le message vaccinal efficacement (ce qui n’est pas le cas quand on injecte dans le muscle ou dans le tissu adipeux sous cutané).
Bien que la corrélation entre le taux d’anticorps et la réponse immunitaire ne soit pas parfaitement établie d’un point de vue scientifique (1), vous pouvez ensuite (après quelques semaines) vérifier ce taux pour voir si le vaccin a été intégré, ce qui sera considéré par la médecine comme une preuve de l’efficacité.
Par ailleurs, ces 2 vaccins (ROR et méningite) ne sont pas obligatoires et je vous invite à explorer les risques de votre enfant par rapport aux bénéfices (réels) d’une telle vaccination.
(1) rien ne prouve que l’absence d’anticorps circulant ou un très faible après une vaccination, notamment plusieurs années plus tard, est le signe que le corps ne saura pas se défendre face à la maladie. Inversement, le fait que le corps produise des anticorps en permanence ne garantit pas qu’il saura se défendre. Néanmoins, la pensée magique des médecins, qui sont sélectionnés avec des épreuves de mathématique au concours fait que ces critères de taux circulant ont été retenus.
Le mensonge fonctionne toujours dans les médias, d’une part parce que peu de journalistes prennent le temps de vérifier les affirmations ou n’ont les connaissances requises pour contrer certains arguments; le premier réflexe journalistique devrait être de demander à leurs interlocuteurs sur quelles bases scientifiques ils se basent, mais aussi et surtout parce que le parjure n’est pas attaquable en droit français.
Donc, une ministre ou une responsable d’agence de santé publique ne peut être juridiquement incriminée pour un mensonge énoncé publiquement (sauf si c’est dans le but d’entraver l’action de la justice …)
Les lanceurs d’alerte ne peuvent donc que se ruiner en énergie et en moyen pour tenter de rétablir les faits.