Pr Shaw et L. Tomljenovic : Les dégâts de l’aluminium dans le cerveau
« Les adjuvants aluminiques dans les vaccins : sont-ils sans danger ? »
Lucija Tomljenovic et Chris Shaw
Canada – 2011
La publication en quelques mots
Un nombre croissant d’études établit un lien entre l’utilisation d’adjuvants aluminiques et des conséquences auto-immunitaires graves chez l’homme.
Aucune étude adéquate n’a été menée pour évaluer la sûreté de l’injection simultanée de différents vaccins aux jeunes enfants, ou pour établir la sûreté de l’injection concomitante de deux neurotoxines, l’aluminium et le mercure chez les nouveau-nés et les enfants.
Savoir si le risque de protection contre une maladie redoutée est plus important que le risque de toxicité venant d’un agent prophylactique présumé est une question qui exige un examen minutieux beaucoup plus rigoureux que celui qui lui a été consacré jusqu’à présent.
Extrait de la publication
L’aluminium est une neurotoxine, et c’est l’adjuvant vaccinal le plus fréquemment utilisé.
Un nombre croissant d’études établit un lien entre l’utilisation d’adjuvants aluminiques et des conséquences auto-immunitaires graves chez l’homme.
La recherche expérimentale montre clairement que les adjuvants aluminiques présentent le risque d’entraîner des désordres immunologiques sérieux chez l’homme. L’aluminium sous forme d’adjuvant, en particulier, comporte un risque d’auto-immunité, d’inflammation cérébrale à long terme avec des complications neurologiques associées, et pourrait donc avoir des conséquences négatives graves sur l’état de santé général.
Au cours des 30 dernières années, le nombre de vaccins dont l’injection est officiellement programmée et qui sont jugés nécessaires pour les enfants aux Etats-Unis a augmenté considérablement, passant de 10 dans les années 1980 à 32 à la fin des années 2000, dont 18 qui contiennent des adjuvants d’aluminium.
Etant donné que de multiples vaccins aux adjuvants aluminiques sont souvent injectés aux jeunes enfants (de 2 à 6 mois), sur une seule journée au cours de sessions de vaccinations individuelles, les préoccupations quant aux conséquences potentielles de la charge corporelle en aluminium provenant d’adjuvants peuvent être importantes. Ces problèmes méritent d’être sérieusement pris en compte puisque, pour autant que l’on sache, aucune étude adéquate n’a été menée pour évaluer la sûreté de l’injection simultanée de différents vaccins aux jeunes enfants.
De plus, la question de la sûreté des vaccins devient donc encore plus pertinente étant donné que, pour autant que l’on sache, aucune étude clinique adéquate n’a été menée pour établir la sûreté de l’injection concomitante de deux neurotoxines, l’aluminium et le mercure, ce dernier sous la forme d’ethyl-mercure (thimerosal) chez les nouveaux-nés et les enfants.
Puisque ces molécules ont des effets indésirables sur beaucoup des processus et des enzymes biochimiques impliqués dans l’étiologie de l’autisme, la possibilité d’une action toxique synergique est plausible. De plus, dans le but d’évaluer la sûreté et l’efficacité des vaccins, des essais cliniques utilisent souvent un placébo contenant de l’aluminium, à des doses qui sont soit identiques, soit supérieures à celles du vaccin test.
Ceci nous a peut-être conduits à sous-estimer la vraie valeur des effets indésirables associés aux vaccins avec des adjuvants aluminiques. A notre avis, une évaluation complète de l’impact global de l’aluminium sur la santé humaine a trop tardé à être mise en place.
Une telle évaluation devrait inclure des études destinées à déterminer les répercussions sur le court et le long terme de l’aluminium alimentaire, ainsi que les répercussions potentielles, sur des groupes d’âge différents, de l’exposition à l’adjuvant aluminique par lui-même, d’une part, et combiné avec d’autres composants potentiellement toxiques des vaccins d’autre part (entre autres, le formaldéhyde, le formol, le mercure, le phénoxyéthanol, le phénol, le borate de sodium, le polysorbate 80, le glutaraldéhyde).
Pour ces derniers, jusqu’à ce que la sûreté des vaccins puisse être démontrée de manière complète par des études indépendantes sur le long terme avec contrôle, qui examinent l’impact sur le système nerveux en détail, beaucoup de ceux déjà vaccinés et ceux qui reçoivent des injections à l’heure actuelle peuvent présenter des risques de complications pour leur santé qui dépassent les bénéfices potentiels que la prophylaxie par vaccin peut procurer.
La question de la sûreté des vaccins aux adjuvants aluminiques est particulièrement pertinente à la lumière de la législation qui peut imposer des programmes de vaccination pour les populations civiles (exemple, la loi de Biodéfense, de Vaccins Pandémiques et du Développement des Médicaments datant de 2005).
Savoir si le risque de protection contre une maladie redoutée est plus important que le risque de toxicité venant d’un agent prophylactique présumé est une question qui exige un examen minutieux beaucoup plus rigoureux que celui qui lui a été consacré jusqu’à présent.
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