« Une souffrance 24h/24h, des troubles cognitifs, une maladie invisible »
Comme chaque semaine, nous vous proposons le témoignage d’un citoyen engagé pour le retour de vaccins sans aluminium. C’est au tour de Caroline, ancienne professeur de danse et malade de myofasciite à macrophages, de nous livrer les raisons de son implication.
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Caroline, 39 ans, diagnostiquée “myofasciite à macrophages” (maladie causée par l’aluminium utilisé dans les vaccins) en 2010 après quatorze années d’errance médicale. En invalidité, j’ai dû cesser ma passion de professeur de danse et accepter de vivre au rythme d’une maladie douloureuse, perverse et ingérable. Composer avec des crises qui peuvent se déclarer d’une heure à l’autre qui compliquent la vie quotidienne et familiale.
La myofasciite a tout fragilisé dans ma vie, exceptés mon rire et mon sourire. Je me battrai jusqu’au bout pour les préserver, ainsi que cette parcelle d’énergie qui me garde vivante, à l’intérieur et vis-à-vis des autres.
Pourquoi vous engagez-vous en faveur de vaccins sans aluminium ?
Mon mari et moi avons très vite été confrontés à la question vaccinale pour notre fille Léna, vu la possibilité de la susceptibilité génétique liée à ma maladie.
Nous avons vécu la violence de l’urgence vaccinale chez Léna, qui a dû se faire vacciner contre le tétanos car elle n’avait plus d’anticorps malgré son rappel des 6 ans… Parce que dans le cas présent, la vaccination était indispensable, nous l’avons vacciné avec le tétanos Pasteur avec aluminium.
Nous pensions attendre encore quelques années avec l’espoir que d’ici là sorte un DTPolio sans aluminium. Malheureusement la réalité nous a rattrapés et, avec elle, la stupéfaction d’apprendre que notre fille, normalement couverte par son dernier rappel vaccinal, ne l’était plus du tout…
Désormais, Léna ne pourra plus se faire vacciner car elle a franchi un seuil critique de doses vaccinales avec aluminium.
Une épreuve que nous ne souhaitons à personne et un sentiment d’injustice grandissant envers le ministère de la santé qui ne nous donne pas l’opportunité de protéger nos enfants sans risque.
Quelle forme prend votre engagement ?
Déjà, je soutiens de tout mon cœur l’association E3M ! Ensuite, j’encadre au sein de l’association le groupe des “MYOches”, “jeunes” malades de myofasciite âgés de 15 à 40 ans.
En parallèle, je témoigne dans les médias et auprès d’étudiants ou d‘enfants dans les établissements scolaires. Témoigner est indispensable pour éveiller les consciences sur le handicap invisible et proposer une réflexion sur la question vaccinale.
L’invisibilité de cette maladie nous contraint souvent à nous justifier, à la cacher pour ne pas embêter les autres… Alors que la réalité, c’est une souffrance 24h/24h, de gros troubles cognitifs et un suivi très contraignant auprès de nombreux spécialistes vu la complexité de notre maladie et des inflammations qui touchent os, muscles et organes.
Qu’est-ce qui vous est le plus insupportable dans la situation sanitaire actuelle ?
Cette détresse face à un gouvernement qui, en toute connaissance de cause, persiste dans son entêtement à couvrir les laboratoires plutôt que de les mettre face à leurs responsabilités. La myofascite à macrophages est une maladie qui fait toujours des ravages, notamment auprès des jeunes…
Quel message avez-vous envie de transmettre aux citoyens ?
Ni pro-vaccin, ni anti-vaccin. Vaccinons responsables, avec du bon sens et évidemment sans aluminium !
=> Pour agir à nos côtés, rendez-vous sur cette page : www.vaccinssansaluminium.org/agir
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