« Alors que les méfaits de l’aluminium sont connus, il n’y a toujours pas d’alternative »
Marie est une jeune femme de 25 ans, mère de deux enfants. Actuellement en congé parental, elle s’est intéressée à la vaccination et a découvert que de nombreux vaccins contiennent de l’aluminium. Face aux risques avérés de cet adjuvant, elle a décidé de se mobiliser pour qu’une alternative à ce produit toxique soit de nouveau disponible dans les vaccins.
Pourquoi vous engagez vous pour le retour de vaccins sans aluminium ?
Je me suis penchée sur la composition des vaccins peu après la naissance de ma fille aînée. C’est ma mère qui m’a informée que les vaccins contenaient de l’aluminium et en faisant des recherches pour approfondir le sujet, j’ai été horrifiée des conséquences et du nombre de victimes de l’aluminium.
Il me semble extrêmement important que les gens soient informés et que des citoyens se mobilisent pour pouvoir être vaccinés sans être « empoisonnés ».
Quelle forme prend votre engagement ?
Communiquer, afin d’informer et de mobiliser un maximum de monde ; Donner de mon temps à l’association E3M, qui agit pour le retour de vaccins sans aluminium, dans la mesure de mes compétences.
Qu’est ce qui vous est le plus insupportable dans la situation sanitaire actuelle ?
Le fait que des gens soient malades, alors que paradoxalement la vaccination est censée nous protéger ! Le fait que nous n’ayons pas le choix, aucune alternative proposée alors que les méfaits de l’aluminium sont découverts et reconnus.
Quel message auriez vous envie envie de transmettre aux citoyens ?
Il faut toujours garder l’espoir que les choses peuvent changer. Nous ne devons pas accepter l’inacceptable sous prétexte que nous n’avons pas le choix. Il est indispensable de mobiliser un maximum de personnes pour que notre combat aboutisse.
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