Vaccination : une semaine surréaliste

Des autorités de santé en décalage avec les attentes de la population

La Semaine européenne de la Vaccination insiste cette année sur « Protégeons-nous, vaccinons-nous ». L’INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) précise : « c’est le bénéfice individuel mais aussi collectif et altruiste de la vaccination qui est le thème prioritaire retenu pour la SEV 2016 ».

Chacun sait que la confiance de la population française dans la vaccination est en baisse. Nous attendions donc que des mesures fortes soient annoncées, telles que le lancement du débat sur la vaccination annoncé par la Ministre de la santé le 12 janvier dernier.

Et nous formulions le voeu que celui-ci soit mis en oeuvre « en toute transparence » par « un comité d’organisation ouvert aux diverses sensibilités ». Annoncé pour le mois de mars, il n’est toujours pas d’actualité (à moins que les derniers jours de la “semaine de la vaccination” ne nous réservent des surprises ?). Ce retard sera rapidement oublié si s’engage un processus réellement démocratique.

A défaut de lancer le débat, le ministère de la santé a annoncé l’ouverture d’un site d’information dédié à la vaccination. Que peut-on y lire ? Des informations lapidaires, sans les références scientifiques qui permettraient à chacun de comprendre les choix de santé publique.

Ainsi, sur la question de l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal : « De nombreuses recherches et études scientifiques ont été menées pour vérifier que l’aluminium était sans danger. Aucun effet nocif n’a été établi. Des traces d’aluminium peuvent rester autour du point d’injection pendant plusieurs années après injection sans danger pour la santé ».

Aucune source ne vient étayer ces affirmations. Les français sont priés de croire ce qu’on leur dit et non pas de comprendre.

Cela permet de passer sous silence les travaux sur l’aluminium vaccinal menés par des scientifiques du monde entier au cours de ces 20 dernières années, ou d’occulter les dernières découvertes de l’unité INSERM des Pr Gherardi et Authier, dont les recherches ont bénéficié, fin 2013, d’une subvention de 150 000 € versée par l’Agence du Médicament (ANSM) sur décision de la Ministre de la Santé, suite aux actions menées par l’Association E3M. Les résultats sont pourtant connus des autorités de santé depuis plusieurs mois, certains sont publiés[1], d’autres le seront dans les toutes prochaines semaines.

La migration de l’aluminium dans l’organisme, lors de l’injection de tout vaccin aluminique, est confirmée. L’accumulation de cet aluminium, hautement toxique, dans des organes du système immunitaire (rate, ganglions lymphatiques) et du système nerveux central sont avérés. Toute pénétration d’aluminium dans le cerveau déclenche des troubles neuro-comportementaux proches des symptômes de myofasciite à macrophages. Une prédisposition génétique existe freinant l’élimination de l’aluminium…

Une vraie politique vaccinale (à laquelle nous, association de malades de myofasciite à macrophages, restons favorable) doit d’une part être définie en toute transparence et hors de toute pression de l’industrie, et d’autre part se baser sur des données scientifiques actualisées tenant compte des découvertes les plus récentes.


[1] http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26384437

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26030650
http://bmcmedicine.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12916-015-0388-2
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25699008

3 réponses
  1. davranche sophie
    davranche sophie dit :

    cela signifie t il que nous sommes otages ? que rien ne sera modifié malgré toutes les actions entreprises? comment doit on réagir quand des renouvellements de vaccins sont prévus pour 2017 dans sa famille ? y a t il un moyen d’acheter un vaccin sans aluminium ailleurs qu’en France ?

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  2. Farfadette
    Farfadette dit :

    Bonjour,
    il n’y a malheureusement pas que l’aluminium qui est en cause dans les vaccins, il y a d’autres substances et avec tout autant d’études sérieuses et indépendantes de par le monde qui ont prouvé leur nocivité. Le thimerosal, le mercure, le formaldéhyde, et autres substances nocives sont utilisées et on voudrait nous faire croire que des nourrissons ne risquent rien quand on leur injecte tout ceci directement dans le corps en passant toutes les barrières de défenses de l’organisme ? Jusqu’à quand le gouvernement et les politiques ainsi que les experts liés aux labos pharmaceutiques vont-ils nous mentir, à l’heure de la pharmacovigilance 0 en France ! Le fait est que tout circule aujourd’hui et que le débat est déjà lancé dans la population sur les réseaux sociaux et que de grands scandales se préparent… Certain(e)s devront bientôt rendre des comptes !

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